samedi 30 avril 2016

Idée de marque-pages originaux !



Hello tout le monde,

Il se trouve que je cherchais un marque-page maison à fabriquer pour l'insérer dans le Mini-Swap wishlist que Nelcie organisait, et je me suis rappelée qu'aux Antilles il y a une plante rigolote qu'on laisse dans les bouquins et qui fait des choses surprenantes. Quelles choses me direz-vous ? Patientez... je vais cous conter son histoire.

En créole, nommée Zèb maltèt - en français : Herbe mal tête, cette plante est utilisée comme l'indique son nom pour les maux de tête.

Source de l'image : http://www.guadeloupensites.com/herbe-mal-tete.php 

Il est conseillé d'appliquer des feuilles fraîches sur le front pour le mal de tête, en décoction antispasmodique ou même en infusion calmante.

Si je m'arrêtais là, je vous ferais un cours homéopathique, mais mon but n'y est pas.
Selon la coutume antillaise, cette plante, si on écrit le nom de l'être aimé dessus, elle fleurira.  Pour cela, il faut la garder avec soin dans un ouvrage et attendre quelques semaines pour l'enlever. Si elle a effectivement fleuri, l'amour que vous ressentez pour cette personne est vrai... 

C'est quand même rigolo vous trouvez pas ? 

J'ai donc fait abstraction de cette coutume en prenant seulement le fait que la feuille fleurira, et je l'ai envoyée pour le mini-swap wish-list n°9. Après je trouve que la feuille est une bonne idée de marque-page. Un marque-page qui évolue avec le temps. 

Pour illustrer cet article, j'ai moi-même écrit le nom de ma chienne sur une feuille que j'ai laissé reposer quelques semaines dans un livre. Le résultat, voyez-le par vous-même en image :

© Parlonslittérature

Maintenant, il me reste plus qu'à en faire usage en me servant de lui comme marque-page.

Voilà comment faire un marque-page original : 100% végétal !








samedi 16 avril 2016

Réminiscence, tome 1 : Pré-sentiment d'Eloïse Clunet




Synopsis : Cassandre possède des dons lui permettant d’entrevoir l’avenir, qui ont fait d’elle une jeune fille à part. L’arrivée de Lucas, un jeune homme d’abord vu en rêve avec un inconnu devant une colonnade céleste, va bouleverser sa vie. Il entreprend de la séduire et l’aide à développer ses dons, malgré des drames qui s’enchaînent autour d’elle. Elle découvre qu’elle fait partie d’un groupe d’individus doués de pouvoirs psychiques où elle n’a malheureusement pas que des amis. Il y aura Aaron, le protecteur, et une très puissante et énigmatique rivale.

Genres : Romance - Fantastique.

Remerciements : Je remercie Livraddict ainsi que l'auteure elle-même pour m'avoir permis de lire cette histoire. 

Mon avis : Je n'ai pas été transcendée par l'histoire, je vais vous expliquer pourquoi.

Il y a certes, de bons éléments de base.
Par exemple le premier chapitre, qui nous met dans le bain direct, en nous présentant l'éveil des dons de Cassandre, était bien abordé. Je me suis sentie proche du personnage à ce moment-là ...  mais par la suite je n'ai pas accroché, j'ai été vraiment déçue. 

Pourquoi je n'ai pas aimé ?

1. J'ai trouvé l'histoire trop fouillis. 

2. Le duo Cassandre - Lucas était prévisible mais la relation a été trop rapide. Lucas débarque dans la vie de Cassandre et s'insère presque avec force je dirais. Idem pour le duo Cassandre - Aaron. Ils sont attirés l'un par l'autre, il y a plus tard de la jalousie d'Aaron, mais je n'ai pas vu précisément de sentiments qui les liaient. 
Ce qui donne vaguement l'impression que Cassandre est attirée que par le plaisir de la chair... ou bien que son personnage ne couche que pour faire évoluer le récit. 
De plus, il n'y a pas un duo que j'ai trouvé "mignon" ou "incroyable". Clairement, les personnages ne sont pas attachants. 

3. L'épisode de l'agression était intense mais j'ai trouvé qu'on est une fois de plus passé à autre chose trop rapidement. 

Je regrette que l'auteure n'ait pas su traiter en profondeur son histoire. Tout est dans la rapidité, la hâte. 

4. Je n'ai pas bien compris "les dons" que possèdent certains personnages., comment ils se matérialisent, comment ils prennent formes ? 

Donc grosse grosse déception pour moi, qui vaut 12/20. Il manquait vraiment un peu plus de sentiments et d'explications vis-à-vis des pouvoirs qui lient Hélène, Lucas, Cassandre et Aaron. 



lundi 11 avril 2016

Un lieu inoubliable

© Romaric Cazaux



Eva avait déjà tout organisé.

Léo et Julie rêvaient d'un mariage façon conte de fées à la cendrillon. Eh bien soit ! Ils l’auront ! Son boulot n’était-il pas d’offrir le merveilleux à ses clients !

Le mariage devait être célébré dans un mois. L’organisation était déjà presque achevée : La sublime robe de mariée avait été choisie de manière pointilleuse, la mairie et l'église déjà réservées, la liste des invités dressée, 

Le meilleur des traiteurs de la place retenu. Des animations des plus originales étaient encore à l’étude pour une ambiance mémorable. Ne restait plus que le lieu de la réception à trouver pour penser à la décoration, au plan de tables et à leur disposition.

Eva avait repéré ce lieu idyllique qui pourrait accueillir Julie, Léo et leurs invités, un lieu inoubliable qui les mènerait au bout de leur rêve. C’était un château en Yvelines, entièrement restauré, entouré d’un parc magnifique où souvent se déroulaient de grands évènements.

Sa rencontre avec le châtelain fut un vrai désastre. Ce dernier célibataire endurci avait la réputation d’être un bel homme très attirant mais bourru et dur en affaire. Eva décida de mettre toutes les chances de son côté, séductrice, elle soigna sa mise, petit décolleté discret sous sa veste bien coupée, sourire engageant et discours très professionnel. Rien n’y fit. L’homme resta de marbre, lui fit comprendre qu’il ne partageait nullement sa vision des choses et coupa court aussitôt à l’entretien qu’il semblait trouver ennuyeux. Eva demeura étourdie. C’était la cata ! Mais était-il gay pour demeurer aussi insensible à son charme ?

Par dépit elle s'était rabattue sur une charmante petite auberge fleurie, perdue dans la campagne avec de si beaux jardins aux alentours qui avait été plébiscitée dans un guide de mariage reconnu sur la place.

Le Ding de l’appel en absence la sortit de sa préoccupation.

Un message vocal lui indiquait "Mademoiselle, je suis désolé de mon attitude lors de notre entrevue. Je suis revenu sur ma décision. S’il n'est pas trop tard, je vous retiens la grande salle du château pour le mariage comme vous le souhaitiez. Si ma proposition vous sied, rappelez-moi pour fixer un rendez-vous. Pour me faire pardonner je vous le ferez visiter".

Waow...Eva sauta en battant des mains. Waowwwwwwwwwwww !...

Il existe vraiment une puissance dans ce monde pensa-t-elle aussitôt. Il fallait qu'elle le voie et tout de suite, il ne lui restait plus qu’un mois pour que tout soit parfait comme dans un rêve....C’était court, certes, mais après tout, elle était la meilleure dans son domaine. Eva aimait les challenges, un de plus à relever la grisait. De ce pas elle rappela le propriétaire, et se rendit rapidement au château. 

Elégant, le châtelain l’attendait sur le perron, "Il est encore plus beau que dans mes souvenirs" pensa-t-elle. Il l’accueillit avec courtoisie et la conduisit par un couloir sombre jusqu’à la salle de bal. Elle fit coulisser la grande porte l

La vision du couple enlacé pour leur première valse lui apparut, fermant un instant les yeux, elle perçut même la musique et les voix et rires des invités. Ce lieu était parfait ! Elle admirait la décoration et le raffinement des meubles d'époque quand soudain... elle fut empoignée par deux mains robustes et fut entraînée dans le noir tandis que la voix du châtelain lui susurrait à l’oreille :

« Ne jouez pas ce petit jeu avec moi Eva ! Je sais parfaitement ce que vous voulez et je vais vous le donnez tout de suite ».

Texte écrit dans le cadre de l'atelier d'écriture : Une photo, quelques mots.



samedi 9 avril 2016

Nom de code : Blackbird, tome 1 : Cours ou meurs d'Anna Carey


Couverture Nom de code : Blackbird, tome 1 : Cours ou meurs



Résumé :

Liste des choses que je sais :

Je suis à Los Angeles
Je me suis réveillée sur les voies du métro à la station Vermont-Sunset.
Je suis une fille et j'ai de longs cheveux noirs.
J'ai un oiseau et un code (FNV02198) tatoués sur le poignet droit.
Je suis en fuite.
Des gens essaient de me tuer.

Genre : Jeunesse - Thriller

Mon avis : J'ai voulu vous faire une chronique plus étoffée, mais... je n'ai pas le coeur à ça.

Black Bird était dans ma wish-list depuis un bon petit moment. J'étais ravie de le lire enfin. Je trouvais que le résumé incitait à découvrir le mystère qu'entourait cette jeune fille au tatouage.

Mais je n'ai pas accroché avec elle. Du fait, qu'elle ne connaisse pas son identité, le lecteur est un peu désarmé, dépourvu, il lui manque cette information pour s'attacher à elle. 

On ne s'attache pas non plus aux autres personnages qui ne font que passer en fin de compte.

Par contre j'ai trouvé assez original le style de l'auteur qui a choisi le tutoiement pour écrire son histoire. On a l'impression qu'elle insère le lecteur à son oeuvre tout en parlant à son personnage. C'est vraiment un beau concept.

Je lui ai attribué la note de 15/20.

dimanche 3 avril 2016

Je tue les enfants français dans les jardins de Marie Neuser


Résumé des éditions

https://www.pocket.fr


Lisa, jeune professeur d’italien, se rend chaque jour au collège comme on va à la guerre, avec, en guise d’armée ennemie, les élèves. Au fond de la classe, les garçons se disputent le rôle de commandant en chef en rivalisant d’insultes et de menaces. Du côté des filles, ce n’est guère plus apaisé : comment faire comprendre à une gamine de douze ans qu’elle ne doit pas se prostituer, même pour se payer des vêtements de marque?

Seule solution pour survivre sur ce champ de bataille où règne la loi du plus fort, se forger une carapace, en attendant son heure… l’heure de la contre-attaque.

Mon avis


Je ne me souviens pas avoir lu des livres qui abordent le milieu scolaire. Par contre j'ai vu plusieurs films qui abordent le sujet. Un sujet qui est souvent le même: le prof qui débarque dans des classes supers difficiles, où le vocabulaire ne va pas plus loin que Ta G*****, P***** et j'en passe et des meilleurs. Où le niveau de violence atteint des summums, à se demander si on est toujours à l'école ou dans une formation pour devenir Super Méchant. J'avoue, je ne suis pas friande de ce genre d'environnement car c'est toujours la même histoire : pour finir le prof arrive par divers subterfuge à instaurer une forme d'autorité dans sa classe et surtout donne à ses étudiants l'envie d'apprendre et de l'espoir pour le futur. Il va s'avérer que les fauteurs de troubles sont moins cons qu'ils n'y paraissent. Ahhh que c'est beau quand le corps professoral se donne une bonne fois pour toute dans son métier arrêter de glander toute la journée en salle de prof.
Bon j'en reviens à nos moutons. C'est le titre de ce roman qui m'a donné envie de le lire. Et disons le platement, je ne suis absolument pas déçue de ce roman, il est un véritable coup de coeur. Pour Lisa il suffira de quelques semaines de cours pour comprendre qu'elle ne pourra rien faire avec sa classe. Il n'est pas question ici d'une prof qui baisse les bras mais il y a une réalité aussi dans ce métier et je peux vous assurer et vous le savez aussi qu'il y a des écoles, des classes où les gosses refusent catégoriquement de travailler, d'apprendre. Et qu'on ne vienne pas lui avancer ces histoires de GSM, de société qui évolue, de générations différentes. J'ai trente ans et ce que la narratrice décrit dans son roman je l'ai vécu. Je me souviendrai toujours du cours de religion. Nous avions tous les crocs pour ce cours. Tout le monde sait que le cours de religion "ne sert à rien", que se sont 2 h de glande. Et bien je peux vous dire que le prof doit encore s'en souvenir. Des monstres, voilà ce que nous étions. J'étais dans l'enseignement général et ce cours était devenu un défouloir...Par contre, l'établissement d'à côté était un enseignement technique et professionnel...Là il fallait réellement s'accrocher! Les étudiants étaient des bombes qui explosaient à longueur de journée. Ma soeur qui était dans cette école a pu régulièrement nous raconter les horreurs que faisaient subir les gosses aux profs. 
Dans ce roman, l'auteur ne souhaite pas montrer des profs qui baissent les bras. Pour ça, ce roman est une perle. Il nous montre l'angoisse au quotidien des profs qui peuvent se faire taper dessus, injurier, mis plus bas que terre, se faire traiter comme la pure des merdes. Des profs qui ont peur de rentrer chez eux, de peur de croiser un étudiant qui a été foutu à la porte et qui bien sûr remet la faute sur eux. Des profs qui pendant leur formation à l'université ont vécu dans un petit cocon où l'enseignement se faisait en harmonie, bonheur et épanouissement. Quoi de mieux que ces études merveilleuses pour à leur tour arriver dans une école et se dire qu'on va pouvoir partager son savoir à de jeunes étudiants. La réalité : ce sont petits cons qui décident comme des grands que leur avenir ne se fera pas grâce à l'école. Ils font la loi à l'école mais aussi chez eux. Non, se ne sont pas de pauvres petits qui n'ont jamais rien eu et qui vivent dans une cité de merde. Ces gamins sont de la classe moyenne. Ils ont des habits de marques, des accessoires de marques, un claquement de doigts et ils obtiennent ce qu'ils veulent. Pour pimenter leur vie, certains vont trafiquer, d'autres (et toujours pour le plaisir!!!!!) vont se prostituer. Ces gamins sont la merde de notre société, cette société qui veut nous faire croire qu'ils sont l'avenir, alors qu'ils en sont les déchets. Ce roman nous plonge dans l'enfer d'un quotidien où la seule issue reste peut-être une petite balade dans les "jardins".
 
Ahhh, je ne vous cache que les messages (et la fin) de ce livre sont forts. Ce roman reflète réellement une réalité (pas dans tous les établissement, je suis bien d'accord) que beaucoup de profs vivent tous les jours. Si si, j'ai assez de personnes autour de moi dans l'enseignement qui peuvent vous le dire.

18/20

vendredi 1 avril 2016

La Fille du train de Paula Hawkins


Résumé des éditions



Depuis la banlieue où elle habite, Rachel prend le train deux fois par jour pour aller à Londres. Le 8 h 04 le matin, le 17 h 56 l’après-midi. Chaque jour elle est assise à la même place et chaque jour elle observe, lors d’un arrêt, une jolie maison en contrebas de la voie ferrée. Cette maison, elle la connaît par cœur, elle a même donné un nom à ses occupants qu’elle voit derrière la vitre. Pour elle, ils sont Jason et Jess. Un couple qu’elle imagine parfait, heureux, comme Rachel a pu l’être par le passé avec son mari, avant qu’il ne la trompe, avant qu’il ne la quitte. Rien d’exceptionnel, non, juste un couple qui s’aime. Jusqu’à ce matin où Rachel voit un autre homme que Jason à la fenêtre. Que se passe-t-il ? Jess tromperait-elle son mari ? Rachel, bouleversée de voir ainsi son couple modèle risquer de se désintégrer comme le sien, décide d’en savoir plus sur Jess et Jason. Quelques jours plus tard, c’est avec stupeur qu’elle découvre la photo de Jess à la une des journaux. La jeune femme, de son vrai nom Megan Hipwell, a mystérieusement disparu…

Mon avis


Un énorme Buzz est apparu à la sortie de ce roman et je n'aime pas les romans qui font du buzz. Mais il arrive - pour finir - que je craque pour ces romans quand ils sortent en poche ou dans le cas ici présent quand au bout de plus de 6 mois d'attente je l'obtiens enfin à la bibliothèque.  

Ni une ni deux, je le mets en haut de ma P.A.L car je veux savoir au plus vite si c'est le thriller de l'année ou juste "un petit roman sympa et bien ficelé mais qui dans le fond ne casse pas la baraque."
Conclusion: ce roman peut passer son chemin, il ne casse pas du tout la baraque alors qu'il aurait pu devenir un énorme coup de coeur. La faute à l'auteure qui n'a pas utilisé la bonne forme pour son roman et sur le coup gâche la fin.

ATTENTION: ma façon de tourner les phrases va entraîner que je spoile le livre donc si vous comptez le lire, arrêtez-vous là en sachant juste que j'ai été affreusement déçue de la fin.

L'auteure va donner la parole à trois personnes dans ce roman sous la forme d'un journal tenu au jour le jour tout au long de la journée. C'est sûrement la plus grosse erreur à mes yeux de ce roman. Ce roman est écrit sous forme d'un journal mais il est clair que ces journaux ne sont pas tenus pas les trois protagonistes. L'auteure utilise le principe du journal de bord  afin de créer un espace temps-lieu et non pour donner un espace de parole à ses personnages, ce qui au fil de la lecture va poser un énorme problème.

Si on fait prendre la parole à trois personnes (ou deux ou plus, on s'en fiche) c'est qu'une de ces personnes est le problème. Pourquoi plonger dans la tête de quelqu'un pour faire accuser une quatrième personne qui ne prendra jamais la parole dans ce livre? Pire à cause de sa forme en journal, l'auteure va faire parler une morte c'est à dire que la personne qui est entrain de mourir, explique qu'elle va mourir, là maintenant. Si c'était vraiment un journal, la personne ne pourrait pas écrire sa propre mort sauf si celle-ci était fausse. 

Pendant la lecture, je me suis dit que c'était un début de coup de génie. Si la morte est toujours vivante, elle a pu mener les autres en bateau ou mieux encore deux personnes sur trois sont dans le complot. Un truc de fifou!
Mais en fait non, la morte est bien morte. Bon ok, tout se joue entre deux personnes. C'est génial aussi. Mais en fait pas du tout. Le meurtrier est donc une 4ème personne. Je viens de passer 400 pages dans la tête de trois personnes et c'est une quatrième dont je ne sais rien qui tue et pourquoi? Ben, pas pour une raison de dingue non plus. Le meurtre est quasi un accident. Le meurtrier est juste dérangé.

Il reste encore quelques pages et j'attends donc la double fin. Là aussi, il y a une porte énorme qui peut s'ouvrir, l'un des protagonistes qui reste peut être justement à la tête de tout un plan machiavélique, construit sur plusieurs mois pour en arriver là où il en est maintenant. Mais là aussi rien du tout. Tout ça pour ça. Tout le roman est super bien foutu, je l'ai vraiment bouffé mais utiliser la forme du journal sans aller jusqu'au bout du délire ça ne sert à rien.  C'est vraiment dommage pour cette fin qui est loin d'être transcendante.

Livre moyen, juste bon pour les vacances

14/20


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